Certains observateurs expérimentés voient immédiatement où je souhaite en venir, pour les plus jeunes: quelques explications…Le programme officiel du 53° Tour Auto sera donc présenté demain Jeudi 23 Juin. Cette date marque donc le début officiel de l\’épreuve phare des sports mécaniques à la Réunion.
A compter de cette date, hors de question pour les concurrents régulièrement inscrits de passer \ »par hasard\ » sur le tracé des spéciales retenues. Certes le parcours n\’est officiellement pas dévoilé mais certains se sont déjà procurés les éléments de parcours. Après tout nous sommes sur une toute petite île…
Gilles Panizzi est un pilote référence du plateau national dans les années 90\’.
Certains de nos pilotes locaux préparent activement le marathon physique que représente le Tour Auto. Ainsi certains d\’entre eux (et pas des moindres) peaufinent leur endurance et leur cardio à vélo et \ »comme de par hasard\ » sur certains tracés qui seront utilisés pour ce Tour Auto. Mon auriculaire me murmure à l\’oreille la présence de certains pilotes cyclistes pour l\’occasion du côté des hauteurs de l\’Ouest et notamment sur le tracé des Canots par exemple. Pour en revenir au syndrome Panizzi, la légende dit que ledit Panizzi (et d\’autres) se soient fait rattrapés par la patrouille il y a plusieurs années en pleine reconnaissance \ »vélocipèdique\ » sur des tracés du Championnat de France. Néanmoins, le gilou avait pris soin de se coiffer d\’une perruque du plus bel effet…nos locaux ne sont pas allé aussi loin en roulant tête nue et donc facilement identifiables…

Toutefois, il ne s\’agit sans doute que d\’un pur hasard, les pilotes concernés n\’étant évidemment pas au courant du moindre kilomètre de ce 53° Tour Auto (smiley LOL). Allez, rien de bien grave reste juste à ces cyclistes du week-end à ne plus évoluer sur ces tracés, avec ou sans perruque, à vélo, à moto ou en voiture car à compter de demain les tracés sont réputés connus et de tels agissements pourraient aisément être qualifiés de reconnaissance illicite…je dis ça, je dis rien…